Il existe deux façons de faire la fécondation :
- par fécondation in vitro traditionnelle : la fraction des spermatozoïdes préparés est déposée au contact des ovocytes dans la boite de culture contenant un milieu nutritif. La boite est placée dans un incubateur à 37°C et les spermatozoïdes viennent au contact de l’ovocyte et un seul spermatozoïde fécondera l’ovocyte ,
Une fois le liquide séminal (sperme) de l’homme émis, il est pris en charge par le laboratoire. A partir de l’éjaculat, l’objectif est de sélectionner les meilleurs spermatozoïdes, on obtient ainsi une fraction de spermatozoïdes nombreux et mobiles qui seront plus à même de féconder l’ovocyte et d’obtenir des embryons qui donneront ultérieurement une grossesse.
Une fois les ovocytes de la femme prélevés, le technicien de laboratoire les isolent dans un milieu de culture avant leur mise en fécondation.
Chez la femme, les analyses permettent de rechercher les causes anatomiques, hormonales, infectieuses, etc.
Le bilan hormonal : il s’agit de mesurer toutes les hormones liées aux étapes de la reproduction et au cycle menstruel. Il faut effectuer une prise de sang dans un laboratoire. Le moment de la prise de sang est minutieusement calculé : entre 2 et 4 jours après le premier jour des règles précédentes.
Chez l’homme, pour étudier la fertilité masculine, on effectue un spermogramme. Il s’agit d’analyser le nombre, la mobilité, la vitalité et la forme des spermatozoïdes. En cas de résultats anormaux, la probabilité de parvenir à une grossesse diminue mais reste possible. Dans ces cas-là, des analyses complémentaires peuvent être recommandées :
L’Insuffisance Ovarienne Prématurée (IOP) est un syndrome concernant les femmes de moins de 40 ans et marqué par une augmentation des taux plasmatiques de FSH>30 UI/L associée à des troubles de règles : aménorrhée secondaire. L’incidence de l’IOP est de 1 à 2 % dans la population féminine.
L’insuffisance ovarienne prématurée (IOP) est un syndrome concernant les femmes de moins de 40 ans et marqué par une augmentation des taux plasmatiques de FSH>30 UI/L associée à des troubles de règles : aménorrhée secondaire. L’incidence de l’IOP est de 1 à 2 % dans la population féminine.
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